
Que trouver dans ce livre :
Si vraiment, vous cherchez un roman qui vous transporte, « Esther Magnétiseuse » de Lina Chelli est celui qu’il vous faut !
Tout d’abord, un voyage dans la Tunisie de 1946, son ambiance si particulière, et au cœur de tout ça, une jeune femme, Esther, dont la vie bascule après une mort physique et une miraculeuse résurrection. Elle va bientôt découvrir qu’elle a un don, celui de soulager la souffrance et même parfois de guérir ceux qui croisent sa route. C’est le début d’une vie extraordinaire qui va vous transporter bien au-delà des limites de l’imaginaire.
Et le plus étonnant, c’est que les mots sonnent si juste, que l’auteur, Lina Chelli, dans ce roman, nous fait ressentir avec elle ses émotions, et nous fait vivre avec elle une histoire criante de vérité qui nous captive de plus en plus, au fur et à mesure de sa lecture.
Mais, ce n’est pas tout, ce roman, Esther Magnétiseuse, explore des thèmes profonds, sans jamais être lourd :
Esther, c’est l’image de l’Amour universel, celui qui nous pousse à nous interroger sur le sens de notre vie, sur la bienveillance, le doute, la rédemption, sur toutes les valeurs fondamentales de notre Humanité.
Et en plus, le réel flirte avec le surnaturel, ce roman semble magique, à tous instants, l’ordinaire peut basculer dans l’extraordinaire, de façon tellement naturelle, que le lecteur, complètement sous le charme, est totalement absorbé par cette vie hors du commun. Esther navigue entre notre monde et celui, plus subtil, des esprits. Frissons garantis !
C’est un voyage, qui débute au cœur d’une Tunisie des années 1940, pour nous transporter jusqu’à un Marseille des années 2010, tout en nous invitant à réfléchir sur notre place dans le monde et sur la force invisible, mais si puissante de l’Amour.
Pourquoi lire ce livre :
Ce roman a un petit quelque chose de plus, c’est une évasion garantie et pleine de mystère, il va vous transporter bien plus loin que votre quotidien. Il va vous plonger direct dans la Tunisie des années 1940, avec son atmosphère unique, ses parfums, ses bruits … Ce voyage, riche en couleurs et en émotions, est alimenté par un mystère qui nous captive, et dont on se laisse porter avec délice.
Lina Chelli explore le pouvoir de guérison de l’invisible. Ce qui est fascinant, c’est que le livre ne se contente pas d’une belle histoire, il nous invite à réfléchir sur le Don de guérison, ce fameux Don que certaines personnes ont l’incroyable capacité de prodiguer, non pas seulement sur les corps, mais aussi sur les âmes. Esther va découvrir et utiliser ces facultés, et, au fil des pages de ce roman, le réel et le surnaturel vont se côtoyer tout naturellement dans son quotidien.
Ce roman : Esther Magnétiseuse, au-delà de totalement nous captiver, est une quête du sens de la vie, une réflexion qui résonne en nous. Esther n’est pas qu’une simple guérisseuse. C’est une femme qui cherche des réponses, et qui va au-delà d’une vérité établie pour essayer d’en atteindre une autre, qu’elle va peu à peu découvrir. Son cheminement, c’est peut-être le nôtre, car il nous pousse à nous poser des questions sur la vie, sur la mort, sur l’amour inconditionnel et sur cette formidable capacité humaine qui nous permet de dépasser la souffrance. C’est bien plus qu’une simple lecture, c’est une introspection qui nous amène avec bonheur à franchir la barrière du Monde des apparences.
C’est une histoire qui nous touche en plein cœur, « Esther Magnétiseuse », ce n’est pas juste un roman qu’on lit. C’est une véritable expérience, C’est un livre qui va laisser son empreinte au plus profond de nous-mêmes, car il va nourrir notre âme et notre esprit d’espoir, de générosité, de bienveillance et surtout, d’un Amour si puissant qu’il va demeurer en nous, bien longtemps avoir tourné la dernière page.
Pourquoi j’ai écrit ce livre :
Je buvais un verre à la terrasse d’un café, place Félix Baret, avec ma mère et deux de ses amies. Ma mère, Esther, leur a raconté son histoire. Au fur et à mesure qu’elle parlait, ces deux femmes n’ont pu retenir leur émotion, surtout lorsqu’elle a raconté sa mort, puis ses étranges prédictions à sa résurrection, après avoir été bénie par un curé. Elles étaient subjuguées, et l’une d’elle, qui s’appelait Sylvie, s’est écriée avec la voix de cœur :
Esther, il faut écrire un livre !
Ces mots ont résonné dans mon esprit, ils sont entrés en moi, je les ai reçus comme un message de l’Univers qui me demandait de remplir cette mission. Je sentais qu’il fallait que je le fasse pour que ma mère, Esther, qui a dispensé tant de bien tout autour d’elle, ne meure plus jamais, et que son histoire perdure sa mémoire et son énergie jusqu’à la fin des temps.
Je suis rentré chez moi, et en 16 jours, j’ai écrit ce livre Esther magnétiseuse. C’était en 2011, une première édition, chez un imprimeur marseillais, qu’un ami et frère, Michel Marchand m’a généreusement subventionnée.
Ce premier jet était assez naïf, bien trop court, et je dois l’avouer, assez mal écrit.
Et puis, des amis à moi m’ont dit :
Lina, tu peux faire mieux, dans ce livre, malgré ses maladresses, on peut y déceler du talent, retravaille-le, laisse parler ton cœur, demande plus de détails à ta mère, et quelqu’un là-haut va te guider et t’aider à trouver tous ces mots qui sont en toi, mais que tu ignores encore.
J’ai entendu, et je me suis mise au travail, car sans lui, quel que soit le Génie dont on dispose, il ne peut s’exprimer.
Je l’ai entièrement réécrit, et en décembre 2012, j’ai mis un point final à mon roman.
La suite est pleine de péripéties, je te la raconte, mais je pense qu’il vaut mieux qu’elle reste entre nous, à toi de juger.
Une femme, Chantal Selva, directrice de collection aux éditions l’Harmattan, m’a proposé de l’éditer à condition de cosigner avec moi.
J’ai bien entendu refusé. Elle m’a dit alors, votre histoire est au passé, on écrit plus comme cela maintenant, je vais vous la mettre au présent.
Comme une imbécile, j’ai accepté, pour moi, ce qui comptait le plus, c’était d’être éditée, à mon seul nom, dans une grande maison d’édition. Elle a détruit la magie de mon livre qu’elle a appelé : La guérisseuse de Marseille.
Par bonheur, je n’ai signé que pour 10 ans avec l’Harmattan, mon contrat a pris fin en 2024.
J’en ai fait des cauchemars, on m’avait spolié de mon œuvre, je pleurais tout au fond de moi, car je devais subir cette injustice, et malgré cela, j’ai trouvé le moyen d’en vendre 1500 exemplaires.
Et puis, en 2015, j’ai appris, par hasard, qu’une femme, dont le livre avait été plagié, avait perdu son procès.
Alors, j’ai décidé de me plagier moi-même et d’imprimer mon roman, Esther Magnétiseuse, tel que je l’avais écrit, sans aucune interaction extérieure, en autoédition.
Et là, le succès, et surtout la satisfaction de transmettre la vie extraordinaire de ma mère, telle que l’Univers, et tout ce qu’elle m’a raconté, me l’ont inspiré.
Depuis le 18 février 2024, même si ma mère, Esther, a été délivrée de son écorce terrestre, elle vit maintenant et à tout jamais au travers de ce livre que j’ai écrit avec mon âme, avec ma foi, avec mon cœur et avec tout cet amour immense que j’ai eu la chance de recevoir de cet être d’exception.